Il y a ceux qui attendent et ceux qui agissent, je suis de ceux qui attendent, qui attendent puis agissent, qui agissent aussi loin et aussi fort qu’a était leur attente. Pour atteindre le sommet, le sommet d’un idéal, d’un idéal que nous avons pris le temps de concevoir, de concevoir et d’entrevoir, d’entrevoir et de percevoir, de percevoir, percevoir quoi ? Les obstacles; les mensonges; les pièges; qui parsèment notre chemin à venir, long et sinueux, un chemin à peine visible mais toujours sous nos pas. Sans même le savoir il y a ce déclenchement, ce déclenchement lent mais entreprenant, c’est l’enclenchement d’une utopie et de son épanchement, à vous, aux autres, à moi, à moi qui me suis fidèle depuis tout ce temps, ce temps qui fait de nous ce que l’on est, ou si je peux me permettre ce que nous voulons être.
[NPM] Wrong python executable at install
In case you get an error similar to this when trying to npm install :
Error: Python executable "python" is v3.4.2, which is not supported by gyp.
You should tell npm which executable to use with the following command:
npm config set python python2
If you are on ArchLinux, you’re likely to encounter this problem since the default python is python3. Fortunately, it’s easy to fix.
Cmd #5 [Git]
Petit pense-bête pour la suppression du dernier commit local dans Git. A utiliser donc pour le cas où l’on a pas encore effectué un git push.
git reset --soft HEAD~1
L’option soft permet de conserver les modifications apportées aux fichiers que « contenait » le commit. Si on souhaite simplement se débarrasser de l’ensemble, on pourra utiliser l’option hard.
Par ailleurs, si le commit a été poussé vers le serveur et que quelqu’un a déjà effectué un git pull, il faudra passer par un revert:
git revert HEAD
[Raw Nerve 2] Croire que vous pouvez changer
Voici la traduction du deuxième article de la série Raw Nerve d’Aaron Swartz.
Croire que vous pouvez changer
Cet article est la deuxième partie de la série Pensée Sensible.
Carol Dweck était obsédée par l’échec. Vous savez que certaines personnes semblent réussir tout ce qu’elles font, alors que d’autres semblent impuissantes, condamnées à une vie d’échecs constants? Dweck le remarqua aussi — et elle était déterminée à comprendre pourquoi. Elle commença donc à observer des enfants, essayant de voir si elle pourrait repérer la différence entre les deux groupes.
En 1978, dans une étude avec Carol Diener, elle donna aux enfants différents casse-têtes et enregistra ce qu’ils disaient alors qu’ils essayaient de les résoudre. Très vite, les enfants résignés commencèrent à s’en vouloir: « Je m’embrouille », disait l’un; « Je n’ai jamais eu une bonne mémoire », expliquait un autre.
Mais les énigmes continuaient d’arriver — et devinrent plus difficile. « Ce n’est plus drôle du tout », s’exclamèrent les enfants. Mais ils y avaient toujours plus de casse-têtes.
Les enfants n’en pouvaient plus. « J’abandonne », insistèrent-ils. Ils commencèrent à parler d’autres choses, essayant de penser à autre chose qu’à l’assaut continu de ces casse-têtes difficiles. « Il y a un concours de talent ce week-end, et je serai Shirley Temple », disait une fille. Dweck leurs donna juste des énigmes plus compliquées.
À partir de ce moment-là, les enfants perdirent leur sérieux, comme s’ils pouvaient cacher leur échec en faisant bien comprendre que depuis le début ils n’essayaient pas. Bien qu’informé régulièrement que c’était faux, un garçon continua de choisir brun comme réponse, en répétant: « Gâteau au chocolat, gâteau au chocolat ».[1]
Peut-être que ces résultats ne sont pas surprenants. Si vous avez déjà joué à un jeu de société avec des enfants, vous les avez probablement entendus dire toutes ces choses et plus (Dweck semble avoir manqué la partie où ils prennent le jeu et lancent toutes les pièces sur le sol, puis s’enfuient en hurlant).
Mais, ce qui la stupéfia — et changea le cours de sa carrière — fut le comportement des enfants victorieux. « Tous le monde a un modèle, quelqu’un qui montre le chemin à un moment critique dans la vie, » écrivit-elle plus tard. « Ces enfants étaient mes modèles. Ils savaient vraisemblablement quelque chose que j’ignorais et j’étais déterminée à découvrir quoi. »[2]
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Cover Picture Background
I wanted to display a picture in the background of a page for a project of mine. I’ve already used this solution twice. It works good and looks really great.
Here is the code using the property background-size from CSS3.
body { /*Full picture in the background.*/ background: url(background.jpg) no-repeat center center fixed; -webkit-background-size: cover; -moz-background-size: cover; -o-background-size: cover; background-size: cover; }
So, as an example, this is the original picture I’ve used.
And this is how it looks when used as a cover picture in my project Orchestre.