Retour sur le marathon roller de Bâle du 7 mai 2017. Écrit peu après la course, publié ici pour en garder une trace dans un espace que je contrôle.
Découverte du circuit du marathon roller de Bâle pour une distance totale de 37,5 km environ. Je me classe 63e à 28 km/h de moyenne. Satisfait de ma course, mais encore du travail nécessaire pour améliorer le tout.
Le circuit présente quelques difficultés, montées, descentes, rien d’insurmontable. Du franchissement de trottoir pour arrondir certaines trajectoires et une succession de zones pavées avec un léger effet rail par moment. Circuit assez humide par endroit, mais le vent aidant, l’adhérence est allée en s’améliorant.
Pour la course en elle-même, au départ, je me retrouve enfermé à piétiner sur les 10 premiers mètres jusqu’à ce que ça se fluidifie. Après la première montée, je rentre dans un peloton que je garderai jusqu’à la fin. Sur les 4 premiers tours, je me retrouve assez souvent en tête de peloton, la place n’est pas désagréable, mais la dépense d’énergie supplémentaire se fera sentir à partir du 5e tour (et m’aura peut-être coûté, au maximum, 15 places sur le général homme). Bref, apprendre à rester cacher pour se reposer (mais pas la même satisfaction).
Voyons le bon côté des choses, j’aurai emmené le peloton de la 3e féminine plusieurs fois pendant la course :). Les 2 derniers tours m’ont semblé les plus « fatiguant », il s’avère que ce seront les deux tours les plus rapides.
A retenir donc : outre la technique de patinage qui doit être l’objet d’un travail permanent pour continuer de s’améliorer, il faudra penser pour la suite à la gestion de l’effort (trouver le juste milieu entre tirer le peloton et rester caché en profitant de l’aspiration). En résumé, course plaisante et encore une grande marge de progression devant moi !
